D. 12/1982, B. 08/2011, refill hogsdhead DL7553, 238 bouteilles.
Goûté en aveugle.
Nez : très fruité, très varié. Fruits jaunes (abricots) et blanc (raisins) expressifs, mais aussi des fruits secs. Floral. Une légère tourbe, fine et terrestre, se montre ensuite. Quelques notes fermières viennent s'ajouter, mais c'est "propre". Un aspect végétal certain, de la cire, du miel.
Bouche : belle attaque fruitée, sur les raisins secs et les fruits jaunes , avec aussi du miel et des noisettes. Tourbe fine, terreuse, sèche. On répète un peu le nez mais lorsque c'est aussi joli et bien fait, on ne peut pas s'en plaindre. Un peu de chocolat au lait, de notes citronnées discrètes. Belle puissance supportées par des épices (poivre), texture épaisse très agréable.
Finale : longue et chaleureuse, fumée et poivrée puis légèrement amère.
Un whisky cossu, chaleureux, d'hiver je dirais. L'association de la tourbe, des notes fermières et des fruits jaunes me fait penser à Clynelish évidemment. Dans ce cas, ce serait un bel embouteillage, mais pas au niveau des meilleurs.
Nez : très fruité, très varié. Fruits jaunes (abricots) et blanc (raisins) expressifs, mais aussi des fruits secs. Floral. Une légère tourbe, fine et terrestre, se montre ensuite. Quelques notes fermières viennent s'ajouter, mais c'est "propre". Un aspect végétal certain, de la cire, du miel.
Bouche : belle attaque fruitée, sur les raisins secs et les fruits jaunes , avec aussi du miel et des noisettes. Tourbe fine, terreuse, sèche. On répète un peu le nez mais lorsque c'est aussi joli et bien fait, on ne peut pas s'en plaindre. Un peu de chocolat au lait, de notes citronnées discrètes. Belle puissance supportées par des épices (poivre), texture épaisse très agréable.
Finale : longue et chaleureuse, fumée et poivrée puis légèrement amère.
Un whisky cossu, chaleureux, d'hiver je dirais. L'association de la tourbe, des notes fermières et des fruits jaunes me fait penser à Clynelish évidemment. Dans ce cas, ce serait un bel embouteillage, mais pas au niveau des meilleurs.
88
